Avec 1 décès sur 5 imputable à la pollution, la question de la Qualité de l’Air est un véritable enjeu de santé publique.
Mesurer pour comprendre, comprendre pour agir.


L’air contient des centaines d’espèces différentes, dont la plupart en très faibles concentrations. Comment les distinguer les unes des autres et les quantifier ?
Il existe des solutions de mesure analytiques, habituellement déployées par les réseaux de surveillance de la qualité de l’air ou les laboratoires de recherche. Ces outils sont généralement très performants, mais très coûteux et complexes à utiliser.
Les CAPTEURS constituent une alternative intéressante. Grâce à leur faible coût, ils peuvent être distribués en nombre sur le terrain et donc améliorer la couverture spatiale. De plus, ils renvoient des données à un tempo rapide, fournissant ainsi une information dynamique en temps réel.
Cependant, la plupart des capteurs présentent une qualité de donnée moindre. Ils ont tendance à voir « flou » : mauvaise sélectivité, limite de détection trop élevé ou sensibilité faible. Les utiliser sans calibrage ni expertise est risqué.
Anemon Sensors vous propose des systèmes capteurs dont la Qualité de la Donnée est évaluée par comparaison à des outils analytiques de référence.
L’équipe vous guide dans le choix du système de mesure le plus adapté à votre usage, et vous accompagne dans l’interprétation de votre donnée.
Parmi les polluants les plus impactants, l’ammoniac est actuellement dans le collimateur des experts.
Principalement émis par l’agriculture, il peut être transformé en particules fines, et celles-ci, en pénétrant profondément dans les voies respiratoires, présentent un risque sanitaire fort.
Le problème est tel que l’Europe vient de légiférer en modifiant la Directive 2008/50/CE pour rendre sa surveillance obligatoire.
Outre les sources agricoles, l’ammoniac est aussi un gaz massivement utilisé dans différentes industries notamment la production d’engrais. L’ammoniac est également identifié comme potentiel carburant vert au même titre que l’hydrogène. Son usage devrait donc connaître un nouvel essor et risque de contribuer davantage à la pollution de l’air ambiant.

